Perdre du poids gratuitement et durablement
Le 14 janvier 2024
Par Dr Barefoot Sidy Diallo
« La gourmandise est peut-être le vice le plus dangereux qui est en train de faire périr la planète », prévient le pape François.
Tout être humain peut facilement perdre du poids et éradiquer de manière irréversible l’obésité sans dépenser un centime, et même sans bouger, mais beaucoup de professionnels et d’entreprises ne veulent évidemment pas que vous le sachiez. Cet article vous révèle comment y parvenir.
Comme j’explique dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains, nous pouvons, très rapidement, par des décisions individuelles rationnelles, éradiquer le surpoids et l’obésité sur la planète. On comprend donc que ceux qui profitent de nos malheurs (l’industrie agroalimentaire, le complexe médico-pharmaceutique, les marchands de régimes alimentaires, etc.) ne veulent pas que vous le sachiez.
Leur tactique envoûtante et bien rodée abuse de notre crédulité pour entretenir et aggraver les maladies chroniques en nous faisant croire que nous ne sommes nullement responsables de nos problèmes de santé, alors que nous pouvons facilement éviter ces maladies. Ils parviennent de la sorte à nous faire payer très cher des remèdes qui ne marchent quasiment jamais ou seulement à court terme.
De surcroît, en imposant la peur et des confinements draconiens, ils ont réussi à aggraver considérablement l’obésité, les maladies mentales et les autres comorbidités de la pandémie de COVID-19, car ces pathologies sont très rentables pour eux, et inversement, très coûteuses et dommageables pour nous, financièrement, physiquement et mentalement.
Mais personne ne devrait pour autant les en vouloir, car les politiciens, les autres secteurs économiques et de nombreux individus abusent tout autant notre crédulité. Les humains sont tristement à la fois des proies et des prédateurs, au détriment de la santé, du bonheur et de la survie de l’homo sapiens que l’on devrait appeler désormais « homo covidensis ».
Homo homini lupus est.
Ce proverbe latin souligne à juste titre que « l’homme est un loup pour l’homme ». Autrement dit, l’être humain est le pire ennemi de lui-même et de sa propre espèce, ce qui est encore plus vrai depuis l’avènement du covidisme.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) attire l’attention sur une évidence facile à comprendre, à savoir que le surpoids et l’obésité sont des facteurs de risque majeur pour d’autres maladies chroniques comme les maladies cardiovasculaires (principalement les cardiopathies et les accidents vasculaires cérébraux), le diabète, les troubles musculo-squelettiques (en particulier l’arthrose — une maladie dégénérative des articulations, très invalidante), certains cancers (de l’endomètre, du sein, des ovaires, de la prostate, du foie, de la vésicule biliaire, du rein et du colon) , etc.
Par ailleurs, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis ont confirmé dans leur rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du 12 mars 2021 que : L’obésité est un facteur de risque reconnu des formes graves la COVID-19, peut-être lié à une inflammation chronique qui perturbe les réponses immunitaires et thrombogéniques aux agents pathogènes, ainsi qu’à une altération de la fonction pulmonaire due à un excès de poids. L’obésité est une maladie métabolique qui affecte 42,4 % des adultes américains. Parmi les 148 494 adultes qui ont reçu un diagnostic de COVID-19 lors d’une visite au service des urgences ou d’une consultation dans 238 hôpitaux américains entre mars et décembre 2020, 28,3 % étaient en surpoids et 50,8 % étaient obèses. Le surpoids et l’obésité étaient des facteurs de risque de ventilation mécanique invasive, et l’obésité était un facteur de risque d’hospitalisation et de décès, en particulier chez les adultes de moins de 65 ans.
Autrement dit, plus de 79 % des patients atteints de la COVID-19 sont en surpoids ou obèses. Alors, pourquoi n’éradiquons-nous pas simplement le surpoids et l’obésité — soit dit en passant gratuitement — pour nous débarrasser des maladies chroniques et de la COVID-19, revenir à une vie normale et profiter d’une meilleure qualité de vie et d’une plus longue espérance de vie en bonne santé ?
Comprendre permet d’agir, et des actions rationnelles permettent d’éviter ou d’éradiquer irréversiblement le surpoids et l’obésité. A contrario, l’obéissance aveugle à ceux qui profitent financièrement et politiquement de ces comorbidités de la COVID-19 alimente inéluctablement leur aggravation permanente.
Gourmandise + paresse = obésité morbide
En effet, la combinaison d’un apport énergétique alimentaire excessif et d’un manque d’activité physique est à l’origine de l’obésité — indice de masse corporelle (IMC) de 30 kg/m2 ou plus — et de l’obésité morbide (IMC de 40 kg/m2 ou plus).
À cet égard, il est facile de comprendre que l’obésité n’est que le résultat d’apports caloriques excessifs — sous forme de nourriture ou d’alcool — par rapport à ses dépenses caloriques. Autrement dit, l’obésité est toujours la conséquence d’un choix personnel, puisque nous avons encore la liberté de choisir ce que nous mangeons et de refuser de consommer des produits nocifs comme l’alcool ou le tabac, même si nous sommes évidemment sous de très fortes pressions d’intérêts économiques, politiques, etc.
Nous pouvons également toujours pratiquer une activité physique, même durant les plus durs et absurdes confinements. C’est pour montrer l’exemple que j’avais couru un marathon à l’intérieur de mon domicile, le 20 avril 2020.
Le corps humain n’est pas conçu pour notre mode de vie paresseux, mais pour celui de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs physiquement très actifs, dont l’éventuel surpoids occasionnel était un gage de survie lors des famines. La graisse corporelle était donc leur réserve alimentaire, puisque, à l’instar des autres animaux, ils ne disposaient pas de moyens de garder les aliments longtemps à l’extérieur de leurs corps.
Autrement dit, la solution efficace pour maigrir consiste simplement à revenir au mécanisme naturel de la régulation pondérale, soit passivement, c’est-à-dire en réduisant ou en suspendant l’apport calorique jusqu’à l’obtention du résultat souhaité, et en adaptant ensuite l’apport calorique aux besoins journaliers, soit activement, en y ajoutant l’activité physique ancestrale (la marche, comme moyen de déplacement préférentiel, et la course à pied).
Cela permettra non seulement de perdre du poids plus rapidement et plus facilement, mais également de renforcer à la fois la forme physique et le système immunitaire, dont dépend l’efficacité de n’importe quel vaccin.
En somme, chaque humain peut retrouver irréversiblement et sans frais son poids idéal, tout en économisant beaucoup d’argent, car le niveau de l’indice de masse corporelle est directement proportionnel, d’une part, aux sommes d’argent dépensées pour constituer et entretenir le surpoids et l’obésité, et d’autre part, à son impact sur le réchauffement climatique. Vous trouverez d’explications approfondies dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains.
Par Dr Barefoot Sidy Diallo
« La gourmandise est peut-être le vice le plus dangereux qui est en train de faire périr la planète », prévient le pape François.
Tout être humain peut facilement perdre du poids et éradiquer de manière irréversible l’obésité sans dépenser un centime, et même sans bouger, mais beaucoup de professionnels et d’entreprises ne veulent évidemment pas que vous le sachiez. Cet article vous révèle comment y parvenir.
Comme j’explique dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains, nous pouvons, très rapidement, par des décisions individuelles rationnelles, éradiquer le surpoids et l’obésité sur la planète. On comprend donc que ceux qui profitent de nos malheurs (l’industrie agroalimentaire, le complexe médico-pharmaceutique, les marchands de régimes alimentaires, etc.) ne veulent pas que vous le sachiez.
Leur tactique envoûtante et bien rodée abuse de notre crédulité pour entretenir et aggraver les maladies chroniques en nous faisant croire que nous ne sommes nullement responsables de nos problèmes de santé, alors que nous pouvons facilement éviter ces maladies. Ils parviennent de la sorte à nous faire payer très cher des remèdes qui ne marchent quasiment jamais ou seulement à court terme.
De surcroît, en imposant la peur et des confinements draconiens, ils ont réussi à aggraver considérablement l’obésité, les maladies mentales et les autres comorbidités de la pandémie de COVID-19, car ces pathologies sont très rentables pour eux, et inversement, très coûteuses et dommageables pour nous, financièrement, physiquement et mentalement.
Mais personne ne devrait pour autant les en vouloir, car les politiciens, les autres secteurs économiques et de nombreux individus abusent tout autant notre crédulité. Les humains sont tristement à la fois des proies et des prédateurs, au détriment de la santé, du bonheur et de la survie de l’homo sapiens que l’on devrait appeler désormais « homo covidensis ».
Homo homini lupus est.
Ce proverbe latin souligne à juste titre que « l’homme est un loup pour l’homme ». Autrement dit, l’être humain est le pire ennemi de lui-même et de sa propre espèce, ce qui est encore plus vrai depuis l’avènement du covidisme.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) attire l’attention sur une évidence facile à comprendre, à savoir que le surpoids et l’obésité sont des facteurs de risque majeur pour d’autres maladies chroniques comme les maladies cardiovasculaires (principalement les cardiopathies et les accidents vasculaires cérébraux), le diabète, les troubles musculo-squelettiques (en particulier l’arthrose — une maladie dégénérative des articulations, très invalidante), certains cancers (de l’endomètre, du sein, des ovaires, de la prostate, du foie, de la vésicule biliaire, du rein et du colon) , etc.
Par ailleurs, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis ont confirmé dans leur rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du 12 mars 2021 que : L’obésité est un facteur de risque reconnu des formes graves la COVID-19, peut-être lié à une inflammation chronique qui perturbe les réponses immunitaires et thrombogéniques aux agents pathogènes, ainsi qu’à une altération de la fonction pulmonaire due à un excès de poids. L’obésité est une maladie métabolique qui affecte 42,4 % des adultes américains. Parmi les 148 494 adultes qui ont reçu un diagnostic de COVID-19 lors d’une visite au service des urgences ou d’une consultation dans 238 hôpitaux américains entre mars et décembre 2020, 28,3 % étaient en surpoids et 50,8 % étaient obèses. Le surpoids et l’obésité étaient des facteurs de risque de ventilation mécanique invasive, et l’obésité était un facteur de risque d’hospitalisation et de décès, en particulier chez les adultes de moins de 65 ans.
Autrement dit, plus de 79 % des patients atteints de la COVID-19 sont en surpoids ou obèses. Alors, pourquoi n’éradiquons-nous pas simplement le surpoids et l’obésité — soit dit en passant gratuitement — pour nous débarrasser des maladies chroniques et de la COVID-19, revenir à une vie normale et profiter d’une meilleure qualité de vie et d’une plus longue espérance de vie en bonne santé ?
Comprendre permet d’agir, et des actions rationnelles permettent d’éviter ou d’éradiquer irréversiblement le surpoids et l’obésité. A contrario, l’obéissance aveugle à ceux qui profitent financièrement et politiquement de ces comorbidités de la COVID-19 alimente inéluctablement leur aggravation permanente.
Gourmandise + paresse = obésité morbide
En effet, la combinaison d’un apport énergétique alimentaire excessif et d’un manque d’activité physique est à l’origine de l’obésité — indice de masse corporelle (IMC) de 30 kg/m2 ou plus — et de l’obésité morbide (IMC de 40 kg/m2 ou plus).
À cet égard, il est facile de comprendre que l’obésité n’est que le résultat d’apports caloriques excessifs — sous forme de nourriture ou d’alcool — par rapport à ses dépenses caloriques. Autrement dit, l’obésité est toujours la conséquence d’un choix personnel, puisque nous avons encore la liberté de choisir ce que nous mangeons et de refuser de consommer des produits nocifs comme l’alcool ou le tabac, même si nous sommes évidemment sous de très fortes pressions d’intérêts économiques, politiques, etc.
Nous pouvons également toujours pratiquer une activité physique, même durant les plus durs et absurdes confinements. C’est pour montrer l’exemple que j’avais couru un marathon à l’intérieur de mon domicile, le 20 avril 2020.
Le corps humain n’est pas conçu pour notre mode de vie paresseux, mais pour celui de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs physiquement très actifs, dont l’éventuel surpoids occasionnel était un gage de survie lors des famines. La graisse corporelle était donc leur réserve alimentaire, puisque, à l’instar des autres animaux, ils ne disposaient pas de moyens de garder les aliments longtemps à l’extérieur de leurs corps.
Autrement dit, la solution efficace pour maigrir consiste simplement à revenir au mécanisme naturel de la régulation pondérale, soit passivement, c’est-à-dire en réduisant ou en suspendant l’apport calorique jusqu’à l’obtention du résultat souhaité, et en adaptant ensuite l’apport calorique aux besoins journaliers, soit activement, en y ajoutant l’activité physique ancestrale (la marche, comme moyen de déplacement préférentiel, et la course à pied).
Cela permettra non seulement de perdre du poids plus rapidement et plus facilement, mais également de renforcer à la fois la forme physique et le système immunitaire, dont dépend l’efficacité de n’importe quel vaccin.
En somme, chaque humain peut retrouver irréversiblement et sans frais son poids idéal, tout en économisant beaucoup d’argent, car le niveau de l’indice de masse corporelle est directement proportionnel, d’une part, aux sommes d’argent dépensées pour constituer et entretenir le surpoids et l’obésité, et d’autre part, à son impact sur le réchauffement climatique. Vous trouverez d’explications approfondies dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains.