Le syndrome du bagne
Le 15 juillet 2021
Par Dr Pieds nus Sidy Diallo
Dans les bagnes d’Australie et de Guyane, la plupart des forçats et des gardes finissaient par devenir des malades mentaux.
Il est bien connu que dans les bagnes d’Australie et de Guyane, la plupart des forçats et des gardes finissaient par devenir des malades mentaux. Le syndrome du bagne décrit désormais la folie collective mondiale qui résulte de la gestion et de l’exploitation de la Covid-19 par les plus puissants.
Le syndrome du bagne se réfère d’abord à la folie collective qui régnait dans les bagnes d’Australie et de Guyane, dans lesquels la France et le Royaume-Uni enfermaient dans les conditions les plus inhumaines les prisonniers politiques et d’autres victimes.
En novlangue, le bagne est rebaptisé «confinement». Le syndrome du bagne décrit la folie mondiale, qui résulte de l’ignoble transformation de la planète en un immense bagne depuis l’avènement du covidisme. Or le fou ne sait pas qu’il est fou…
J’ai visité les ruines des bagnes que l’Angleterre et la France avaient fait construire par des forçats en Tasmanie — en particulier à Port Arthur —, et en Guyane (à Saint-Laurent-du-Maroni et aux îles du Salut) pour y enfermer, dans les conditions les plus dures et les plus inhumaines, les prisonniers politiques et de pauvres personnes indésirables, respectivement, au Royaume-Uni et en France.
Au pénitencier de Port Arthur, où l’Angleterre emmurait également des enfants et les indépendantistes irlandais, un guide nous expliqua que beaucoup de forçats et de gardes finissaient par devenir des malades mentaux. Un guide nous raconta une histoire identique en Guyane. Malheureusement, trop d’humains, y compris parmi les plus puissants, se comportent et agissent désormais comme des malades mentaux. Le syndrome de Port Arthur ou le syndrome du bagne décrit cette folie mondiale, qui est la conséquence ignoble de la transformation de la planète en un immense bagne depuis l’avènement du covidisme. Or le fou ne sait pas qu’il est fou…
Le bagne australien le plus dur était situé à Port Arthur, sur le territoire du diable de Tasmanie.
Mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains est disponible sur Amazon en format broché et numérique, également en anglais sous le titre suivant : Running Barefoot for Human Survival.
Par Dr Pieds nus Sidy Diallo
Dans les bagnes d’Australie et de Guyane, la plupart des forçats et des gardes finissaient par devenir des malades mentaux.
Il est bien connu que dans les bagnes d’Australie et de Guyane, la plupart des forçats et des gardes finissaient par devenir des malades mentaux. Le syndrome du bagne décrit désormais la folie collective mondiale qui résulte de la gestion et de l’exploitation de la Covid-19 par les plus puissants.
Le syndrome du bagne se réfère d’abord à la folie collective qui régnait dans les bagnes d’Australie et de Guyane, dans lesquels la France et le Royaume-Uni enfermaient dans les conditions les plus inhumaines les prisonniers politiques et d’autres victimes.
En novlangue, le bagne est rebaptisé «confinement». Le syndrome du bagne décrit la folie mondiale, qui résulte de l’ignoble transformation de la planète en un immense bagne depuis l’avènement du covidisme. Or le fou ne sait pas qu’il est fou…
J’ai visité les ruines des bagnes que l’Angleterre et la France avaient fait construire par des forçats en Tasmanie — en particulier à Port Arthur —, et en Guyane (à Saint-Laurent-du-Maroni et aux îles du Salut) pour y enfermer, dans les conditions les plus dures et les plus inhumaines, les prisonniers politiques et de pauvres personnes indésirables, respectivement, au Royaume-Uni et en France.
Au pénitencier de Port Arthur, où l’Angleterre emmurait également des enfants et les indépendantistes irlandais, un guide nous expliqua que beaucoup de forçats et de gardes finissaient par devenir des malades mentaux. Un guide nous raconta une histoire identique en Guyane. Malheureusement, trop d’humains, y compris parmi les plus puissants, se comportent et agissent désormais comme des malades mentaux. Le syndrome de Port Arthur ou le syndrome du bagne décrit cette folie mondiale, qui est la conséquence ignoble de la transformation de la planète en un immense bagne depuis l’avènement du covidisme. Or le fou ne sait pas qu’il est fou…
Le bagne australien le plus dur était situé à Port Arthur, sur le territoire du diable de Tasmanie.
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