Les 4 piliers du bonheur et de la santé
Paris, le 28 mai 2023
Par le docteur Nupieds Sidy Diallo
L’habitat naturel, le milieu naturel, la course à pied et la procréation sont les quatre piliers du bonheur et de la santé physique et mentale.
La misère intellectuelle est la pire de toutes, car elle nous empêche de comprendre les vraies causes de nos maladies et de nos souffrances physiques et mentales, et donc de bénéficier des bons remèdes préventifs et curatifs.
Si à 50 ans tu n’as pas de Rolex, c’est que tu as gâché ta vie, nous dit le publicitaire Jacques Séguéla qui décidément ignore, comme beaucoup d’autres, que les humains sont une espèce tropicale de chasseurs-cueilleurs et qu’à ce titre nous devrions chercher le bonheur dans la chasse à l’épuisement ou les courses d’endurance plutôt que dans l’oniomanie, car participer par exemple à l’EcoTrail de Paris (80 km) dans la région parisienne ou au Comrades Marathon (90 km) en Afrique du Sud vaut plus que 1000 Rolex.
Autrement dit, on pourrait rétorquer à Jacques Séguéla que, si tu n’as pas fait une course d’au moins 50 miles (80 km), tu as gâché ta vie. On peut cependant se contenter de faire des marathons, si l’on préfère, car courir des marathons vaut certainement plus que 500 Rolex. Et, contrairement aux idées reçues, courir des marathons et des ultramarathons est à la portée de tous les humains, sauf, évidemment, à ceux qui ont déjà perdu leurs capacités physiques ou mentales.
Comme je rappelle dans le livre, Courir pieds nus pour sauver les humains, le corps de l’homo sapiens est conçu pour une activité physique intense, vitale et spéciale, à savoir la course sur de longues distances, jadis pour attraper les animaux, garder la forme, atteindre le vrai bonheur et préserver sa santé physique et mentale, de nos jours pour les trois derniers motifs.
Cette réalité anthropologique signifie que l’on peut avoir des montres de luxe, des jets privés, des yachts, etc., mais un être humain qui n’a pas fait une course d’au moins 50 miles ou 80 km, court le risque de gâcher sa vie et sa santé à plus ou moins long terme. Beaucoup finissent même par perdre leurs capacités physiques et mentales, en pensant, à tort, que les maladies dont ils souffrent et leur basculement dans la sénilité sont inéluctables, alors que ce sont les conséquences de leur mode de vie inadapté à la biologie de l’homo sapiens.
À 68 ans, je n’ai pas de Rolex, et je n’en veux pas. Je me contente d’une simple montre Garmin, d’une plus grande utilité toutefois. Elle me permet en effet de courir librement des marathons et des ultramarathons quand et où je le souhaite, ce qui est désormais une habitude pour moi depuis les annulations intempestives des courses en 2020. C’est par exemple grâce à ma Garmin que j’avais pu participer près de chez moi, dans la région parisienne, à une épreuve virtuelle de 90 km : le Comrades Marathon 2020.
En somme, je dis à toute personne, qui n’aime pas courir ou qui ne court pas assez, que préserver sa santé physique et mentale et son système immunitaire devrait la motiver pour s’y lancer. Je précise à cet égard que c’est grâce à mon mode de vie et à mes courses d’endurance — et non pas à des vaccins — que j’avais pu vaincre aisément, à 67 ans, la Covid-19, à tel point que j’ai ensuite effectué 8 marathons en 7 semaines dans plusieurs pays d’Europe et au Brésil. Autrement dit, comme je m’y attendais, même à 67 ans, mon système immunitaire se montra rapidement beaucoup plus fort que le virus.
Les quatre piliers du bonheur et de la santé physique et mentale
Comme je l’explique dans mon livre précité, les quatre piliers du bonheur et de la santé physique et mentale sont : l’habitat naturel, le milieu naturel, la course à pied et la procréation. Autrement dit, la plupart des humains sont plus ou moins déprimés ou souffrent d’autres maladies, parce qu’ils n’ont pas tous ces éléments.
Il n’est donc guère surprenant que de nombreux humains, y compris des célébrités, souffrent de dépression ou d’insomnie. Ils recherchent alors irrépressiblement le bonheur artificiel par la consommation de psychotropes légaux ou illicites — l’alcool, le tabac, des drogues — la gourmandise, la violence virtuelle ou réelle, la quête de pouvoirs, les achats impulsifs, etc.
L’habitat naturel d’une espèce animale est le milieu naturel dans lequel elle peut survivre sans aucune protection artificielle ou transformation du milieu pour le rendre habitable. L’habitat naturel de l’homo sapiens, que beaucoup appellent paradis tropical, se limite à la zone terrestre qui s’étend du tropique du Cancer au tropique du Capricorne.
Plus on s’en éloigne, plus le risque de souffrir de dépression augmente, comme je l'explique dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains ,disponible sur Amazon en format broché et numérique, également en anglais sous le titre suivant : Running Barefoot for Human Survival.
Par le docteur Nupieds Sidy Diallo
L’habitat naturel, le milieu naturel, la course à pied et la procréation sont les quatre piliers du bonheur et de la santé physique et mentale.
La misère intellectuelle est la pire de toutes, car elle nous empêche de comprendre les vraies causes de nos maladies et de nos souffrances physiques et mentales, et donc de bénéficier des bons remèdes préventifs et curatifs.
Si à 50 ans tu n’as pas de Rolex, c’est que tu as gâché ta vie, nous dit le publicitaire Jacques Séguéla qui décidément ignore, comme beaucoup d’autres, que les humains sont une espèce tropicale de chasseurs-cueilleurs et qu’à ce titre nous devrions chercher le bonheur dans la chasse à l’épuisement ou les courses d’endurance plutôt que dans l’oniomanie, car participer par exemple à l’EcoTrail de Paris (80 km) dans la région parisienne ou au Comrades Marathon (90 km) en Afrique du Sud vaut plus que 1000 Rolex.
Autrement dit, on pourrait rétorquer à Jacques Séguéla que, si tu n’as pas fait une course d’au moins 50 miles (80 km), tu as gâché ta vie. On peut cependant se contenter de faire des marathons, si l’on préfère, car courir des marathons vaut certainement plus que 500 Rolex. Et, contrairement aux idées reçues, courir des marathons et des ultramarathons est à la portée de tous les humains, sauf, évidemment, à ceux qui ont déjà perdu leurs capacités physiques ou mentales.
Comme je rappelle dans le livre, Courir pieds nus pour sauver les humains, le corps de l’homo sapiens est conçu pour une activité physique intense, vitale et spéciale, à savoir la course sur de longues distances, jadis pour attraper les animaux, garder la forme, atteindre le vrai bonheur et préserver sa santé physique et mentale, de nos jours pour les trois derniers motifs.
Cette réalité anthropologique signifie que l’on peut avoir des montres de luxe, des jets privés, des yachts, etc., mais un être humain qui n’a pas fait une course d’au moins 50 miles ou 80 km, court le risque de gâcher sa vie et sa santé à plus ou moins long terme. Beaucoup finissent même par perdre leurs capacités physiques et mentales, en pensant, à tort, que les maladies dont ils souffrent et leur basculement dans la sénilité sont inéluctables, alors que ce sont les conséquences de leur mode de vie inadapté à la biologie de l’homo sapiens.
À 68 ans, je n’ai pas de Rolex, et je n’en veux pas. Je me contente d’une simple montre Garmin, d’une plus grande utilité toutefois. Elle me permet en effet de courir librement des marathons et des ultramarathons quand et où je le souhaite, ce qui est désormais une habitude pour moi depuis les annulations intempestives des courses en 2020. C’est par exemple grâce à ma Garmin que j’avais pu participer près de chez moi, dans la région parisienne, à une épreuve virtuelle de 90 km : le Comrades Marathon 2020.
En somme, je dis à toute personne, qui n’aime pas courir ou qui ne court pas assez, que préserver sa santé physique et mentale et son système immunitaire devrait la motiver pour s’y lancer. Je précise à cet égard que c’est grâce à mon mode de vie et à mes courses d’endurance — et non pas à des vaccins — que j’avais pu vaincre aisément, à 67 ans, la Covid-19, à tel point que j’ai ensuite effectué 8 marathons en 7 semaines dans plusieurs pays d’Europe et au Brésil. Autrement dit, comme je m’y attendais, même à 67 ans, mon système immunitaire se montra rapidement beaucoup plus fort que le virus.
Les quatre piliers du bonheur et de la santé physique et mentale
Comme je l’explique dans mon livre précité, les quatre piliers du bonheur et de la santé physique et mentale sont : l’habitat naturel, le milieu naturel, la course à pied et la procréation. Autrement dit, la plupart des humains sont plus ou moins déprimés ou souffrent d’autres maladies, parce qu’ils n’ont pas tous ces éléments.
Il n’est donc guère surprenant que de nombreux humains, y compris des célébrités, souffrent de dépression ou d’insomnie. Ils recherchent alors irrépressiblement le bonheur artificiel par la consommation de psychotropes légaux ou illicites — l’alcool, le tabac, des drogues — la gourmandise, la violence virtuelle ou réelle, la quête de pouvoirs, les achats impulsifs, etc.
L’habitat naturel d’une espèce animale est le milieu naturel dans lequel elle peut survivre sans aucune protection artificielle ou transformation du milieu pour le rendre habitable. L’habitat naturel de l’homo sapiens, que beaucoup appellent paradis tropical, se limite à la zone terrestre qui s’étend du tropique du Cancer au tropique du Capricorne.
Plus on s’en éloigne, plus le risque de souffrir de dépression augmente, comme je l'explique dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains ,disponible sur Amazon en format broché et numérique, également en anglais sous le titre suivant : Running Barefoot for Human Survival.
Les êtres humains sont donc plus heureux dans un milieu naturel et tropical que dans des villes situées dans des latitudes peu ensoleillées et où il fait froid pendant plus de la moitié de l’année. Cela explique la dépression permanente chez de nombreux Nord-Américains et Européens, particulièrement pendant l’hiver, et leur affection pour des vacances dans les paradis tropicaux avec le risque, ironie du sort, de se faire dérober leurs Rolex ou d’autres signes extérieurs d’oniomanie.
Un mode de vie adapté le plus possible à notre biologie permet pourtant d’éviter, efficacement et gratuitement, non seulement la dépression, mais également de nombreuses autres maladies, comme l’obésité, l’hypertension artérielle, le diabète, l’infertilité, les troubles de l’érection ou la démence, des pathologies que les personnes prétendument civilisées appellent les maladies de la civilisation.
Cette appellation démontre bien le caractère stupide, irrationnel, absurde, arrogant, raciste et hypocrite de la notion de civilisation, dont les Européens s’étaient servis pour justifier l’esclavage, le colonialisme, l’oppression, l’exploitation, voire l’extermination des peuples qu’ils continuent de qualifier encore de gens de la jungle.
Le jardin et la jungle de Josep Borrell
S’adressant en effet, le 13 octobre 2022, à des jeunes diplomates, le chef de la diplomatie de l’Unuion européenne a confirmé les prétentions de supériorité de l’Europe sur le reste du monde, que lui et les technocrates qui ont rédigé et validé son intervention qualifient arrogamment de jungle : "Oui, l’Europe est un jardin. La plus grande partie du reste du monde est une jungle, et la jungle pourrait envahir le jardin." Josep Borrell omit de rappeler que le jardin a été construit par l’exploitation et le pillage des richesses naturelles et humaines de la jungle.
Mais cet Espagnol n’a surtout pas compris que la jungle en a désormais marre de plus de 500 années d’hypocrisie, de fourberies, de mensonges, d’invasions, de pillages et de massacres perpétrés par les jardiniers. Est-ce le prodrome d’une des maladies de la civilisation qui empêche le condescendant chef jardinier de piger ça ?
Un jeune jardinier anglophone et un jeune de la jungle francophone ont publié sur YouTube deux brillantes exégèses des propos de Josep Borrell. Ne rate pas ces vidéos !
Un mode de vie adapté le plus possible à notre biologie permet pourtant d’éviter, efficacement et gratuitement, non seulement la dépression, mais également de nombreuses autres maladies, comme l’obésité, l’hypertension artérielle, le diabète, l’infertilité, les troubles de l’érection ou la démence, des pathologies que les personnes prétendument civilisées appellent les maladies de la civilisation.
Cette appellation démontre bien le caractère stupide, irrationnel, absurde, arrogant, raciste et hypocrite de la notion de civilisation, dont les Européens s’étaient servis pour justifier l’esclavage, le colonialisme, l’oppression, l’exploitation, voire l’extermination des peuples qu’ils continuent de qualifier encore de gens de la jungle.
Le jardin et la jungle de Josep Borrell
S’adressant en effet, le 13 octobre 2022, à des jeunes diplomates, le chef de la diplomatie de l’Unuion européenne a confirmé les prétentions de supériorité de l’Europe sur le reste du monde, que lui et les technocrates qui ont rédigé et validé son intervention qualifient arrogamment de jungle : "Oui, l’Europe est un jardin. La plus grande partie du reste du monde est une jungle, et la jungle pourrait envahir le jardin." Josep Borrell omit de rappeler que le jardin a été construit par l’exploitation et le pillage des richesses naturelles et humaines de la jungle.
Mais cet Espagnol n’a surtout pas compris que la jungle en a désormais marre de plus de 500 années d’hypocrisie, de fourberies, de mensonges, d’invasions, de pillages et de massacres perpétrés par les jardiniers. Est-ce le prodrome d’une des maladies de la civilisation qui empêche le condescendant chef jardinier de piger ça ?
Un jeune jardinier anglophone et un jeune de la jungle francophone ont publié sur YouTube deux brillantes exégèses des propos de Josep Borrell. Ne rate pas ces vidéos !
Le retour à l'état de nature dans le jardin
Toujours est-il que, au moment où nous écrivons cet article, la vie est de plus en plus difficile, morose, angoissante et violente dans le jardin, où l’état de nature s’impose progressivement, parce que les jardiniers, soi-disant civilisés, semblent avoir totalement perdu la raison sur tous les plans : diplomatique, sanitaire, anthropologique, économique, stratégique, etc. La conséquence est que l’espèce humaine n’a jamais été aussi proche de son auto-destruction. Malheureusement, peu de gens sont encore capables de s’en rendre compte, et encore moins d’agir pour sauver l’humanité. Les jardiniers organisent en revanche des campagnes et des bavardages pour prétendument sauver la planète alors qu’elle nous précède de plus de 4 milliards d’années et qu’elle nous survivra d’autres milliards d’années.
L'oniomanie des jardiniers
L’oniomanie, décrite en 1915 par le psychiatre allemand Emil Kraepelin, est une relation pathologique à l’argent et aux achats. Ce trouble mental relève du besoin de se donner l’illusion d’être quelqu’un de particulier ou de se sentir moins seul, mais les achats compulsifs ne parviennent jamais à combler ce sentiment de manque. Ils alimentent au contraire une frustration permanente, tout en suscitant des envieux, d’où le fléau de vols des montres de luxe de footballeurs professionnels, parfois même entre eux.
À titre d’illustration, selon Tahiti Infos, lors de son voyage de noces en Polynésie française en 2022, le footballeur international belge Thomas Meunier s’est fait dérober une montre suisse d’une valeur de 50 000 euros dans sa chambre d’hôtel sur l’atoll de Tetiaroa, jadis une propriété privée de l’acteur Marlon Brando. Je me suis rendu quelques mois plus tard à Tahiti pour participer au marathon de Moorea avec ma montre Garmin, sans risquer ce genre de problème.
Toujours est-il que, au moment où nous écrivons cet article, la vie est de plus en plus difficile, morose, angoissante et violente dans le jardin, où l’état de nature s’impose progressivement, parce que les jardiniers, soi-disant civilisés, semblent avoir totalement perdu la raison sur tous les plans : diplomatique, sanitaire, anthropologique, économique, stratégique, etc. La conséquence est que l’espèce humaine n’a jamais été aussi proche de son auto-destruction. Malheureusement, peu de gens sont encore capables de s’en rendre compte, et encore moins d’agir pour sauver l’humanité. Les jardiniers organisent en revanche des campagnes et des bavardages pour prétendument sauver la planète alors qu’elle nous précède de plus de 4 milliards d’années et qu’elle nous survivra d’autres milliards d’années.
L'oniomanie des jardiniers
L’oniomanie, décrite en 1915 par le psychiatre allemand Emil Kraepelin, est une relation pathologique à l’argent et aux achats. Ce trouble mental relève du besoin de se donner l’illusion d’être quelqu’un de particulier ou de se sentir moins seul, mais les achats compulsifs ne parviennent jamais à combler ce sentiment de manque. Ils alimentent au contraire une frustration permanente, tout en suscitant des envieux, d’où le fléau de vols des montres de luxe de footballeurs professionnels, parfois même entre eux.
À titre d’illustration, selon Tahiti Infos, lors de son voyage de noces en Polynésie française en 2022, le footballeur international belge Thomas Meunier s’est fait dérober une montre suisse d’une valeur de 50 000 euros dans sa chambre d’hôtel sur l’atoll de Tetiaroa, jadis une propriété privée de l’acteur Marlon Brando. Je me suis rendu quelques mois plus tard à Tahiti pour participer au marathon de Moorea avec ma montre Garmin, sans risquer ce genre de problème.