Ce livre peut vous aider à rester en pleine forme physique et mentale, vivre plus longtemps en bonne santé, profiter d’une meilleure qualité de vie, perdre du poids facilement, etc.
Courir pieds nus pour sauver les humains
Par Dr Sidy Diallo
Ce livre peut vous aider à rester en pleine forme physique et mentale, vivre plus longtemps en bonne santé, profiter d’une meilleure qualité de vie, perdre du poids facilement et durablement, arrêter de fumer, vous passer de l’alcool, éviter les blessures de la course à pied, sauver la planète, et économiser beaucoup d’argent sur les consommations inutiles ou nocives et sur les soins de santé.
Le livre Courir pieds nus pour sauver les humains (édition anglaise : Running Barefoot for Human Survival) explique pourquoi et comment tous les humains, qui disposent encore de leurs capacités physiques ou cognitives, peuvent, grâce à notre héritage de chasseurs-cueilleurs, passer du mode de vie dominant à la course de fond pour être en pleine forme, arrêter d’éventuelles addictions, prolonger leur durée de vie en bonne santé, profiter d’une meilleure qualité de vie, éviter de se retrouver dans les EHPAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), "sauver la planète" et économiser jusqu’à des centaines de milliers d’euros sur le tabac, l’alcool, les autres drogues, le carburant, les régimes amaigrissants décevants, les excès de nourriture, les soins de santé, etc.
La course à pied a été et reste une activité vitale pour toute espèce humaine. Seule la forme a évolué : nos ancêtres ont pratiqué la chasse à l’épuisement pendant environ trois millions d’années pour attraper des animaux pour se nourrir, alors que nous devons courir des marathons non seulement pour éviter les maladies chroniques (l’obésité, le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, les maladies respiratoires chroniques, certains cancers, la maladie d’Alzheimer, autres démences, la dépression, l’insomnie, le stress, etc.) qui tuent chaque année plus de 41 millions de personnes et détruisent notre système immunitaire, mais également pour arrêter les consommations inutiles ou nocives, stopper le réchauffement climatique, économiser les ressources naturelles et ainsi donner une chance à la survie de notre espèce.
De plus, contrairement aux idées reçues, tous les humains sont nés pour courir pieds nus, ce qui évite la fatigue, la douleur et les blessures, à tel point qu’après la réadaptation à la course pieds nus, faire un marathon ou un ultramarathon peut ressembler à une promenade de santé.
De nombreux marathoniens chaussés continuent pourtant de courir le risque d’une expérience douloureuse. Les dégâts (crampes, claquages, blessures aux genoux, ampoules aux pieds, tendinites, etc.) apparaissent généralement sur le deuxième tiers du parcours, et s’aggravent jusqu’à la ligne d’arrivée. Après, certains coureurs auront besoin de semaines, voire de mois pour récupérer. D’autres, à l'instar du coureur le chaussé, Abele Bikila au marathon olympique de 1968, à Mexico, ne pourront plus jamais courir un marathon, sans se douter que leurs blessures graves sont dues au port de baskets.
Ce livre peut vous aider à rester en pleine forme physique et mentale, vivre plus longtemps en bonne santé, profiter d’une meilleure qualité de vie, perdre du poids facilement et durablement, arrêter de fumer, vous passer de l’alcool, éviter les blessures de la course à pied, sauver la planète, et économiser beaucoup d’argent sur les consommations inutiles ou nocives et sur les soins de santé.
Le livre Courir pieds nus pour sauver les humains (édition anglaise : Running Barefoot for Human Survival) explique pourquoi et comment tous les humains, qui disposent encore de leurs capacités physiques ou cognitives, peuvent, grâce à notre héritage de chasseurs-cueilleurs, passer du mode de vie dominant à la course de fond pour être en pleine forme, arrêter d’éventuelles addictions, prolonger leur durée de vie en bonne santé, profiter d’une meilleure qualité de vie, éviter de se retrouver dans les EHPAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), "sauver la planète" et économiser jusqu’à des centaines de milliers d’euros sur le tabac, l’alcool, les autres drogues, le carburant, les régimes amaigrissants décevants, les excès de nourriture, les soins de santé, etc.
La course à pied a été et reste une activité vitale pour toute espèce humaine. Seule la forme a évolué : nos ancêtres ont pratiqué la chasse à l’épuisement pendant environ trois millions d’années pour attraper des animaux pour se nourrir, alors que nous devons courir des marathons non seulement pour éviter les maladies chroniques (l’obésité, le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, les maladies respiratoires chroniques, certains cancers, la maladie d’Alzheimer, autres démences, la dépression, l’insomnie, le stress, etc.) qui tuent chaque année plus de 41 millions de personnes et détruisent notre système immunitaire, mais également pour arrêter les consommations inutiles ou nocives, stopper le réchauffement climatique, économiser les ressources naturelles et ainsi donner une chance à la survie de notre espèce.
De plus, contrairement aux idées reçues, tous les humains sont nés pour courir pieds nus, ce qui évite la fatigue, la douleur et les blessures, à tel point qu’après la réadaptation à la course pieds nus, faire un marathon ou un ultramarathon peut ressembler à une promenade de santé.
De nombreux marathoniens chaussés continuent pourtant de courir le risque d’une expérience douloureuse. Les dégâts (crampes, claquages, blessures aux genoux, ampoules aux pieds, tendinites, etc.) apparaissent généralement sur le deuxième tiers du parcours, et s’aggravent jusqu’à la ligne d’arrivée. Après, certains coureurs auront besoin de semaines, voire de mois pour récupérer. D’autres, à l'instar du coureur le chaussé, Abele Bikila au marathon olympique de 1968, à Mexico, ne pourront plus jamais courir un marathon, sans se douter que leurs blessures graves sont dues au port de baskets.
Le cercle vicieux de l’inactivité physique, de la consommation, des comorbidités et du réchauffement climatique
Tous les humains sont naturellement drogués aux endorphines — les puissantes hormones du bonheur. Et la chasse à l’épuisement pour se nourrir, ou courir des marathons pour des médailles, est le seul moyen d’en avoir assez et de rester en pleine forme et préserver la santé, gratuitement. Les endorphines sont la récompense des chasseurs qui parviennent à attraper l’animal pour se nourrir, afin que l’espèce puisse survivre. Ironiquement, bien que de nos jours la plupart des humains bénéficient d’un accès facile à la nourriture, nous devons continuer à courir régulièrement à moins que nous ne préférions subir les maladies chroniques énumérées ci-dessus. Autrement dit, courir un marathon, c’est notre manière de pratiquer la chasse à l’épuisement.
De nombreux humains continuent toutefois à rechercher le bonheur et le sens de la vie dans la consommation d’alcool, de tabac, de médicaments, de drogues illicites, d’excès de nourriture, etc. Or ces produits entraînent des maladies chroniques, alimentent la pollution de l’air et le réchauffement climatique, et créent de nouvelles dépendances qui s’avèrent difficiles à éliminer, même pour ceux qui se mettent ensuite à courir des marathons, ce qui explique, par exemple, pourquoi beaucoup de marathoniens ne peuvent résister à « une bière » après la course, malgré les endorphines qu’ils ont bien méritées.
Du coup, de nombreux organisateurs de course séduisent certains marathoniens en promettant une bière « gratuite » à chaque coureur classé, alors qu’elle est souvent incluse dans les frais d’inscription et donc déjà payée par tous les participants. La boisson addictive est parfois fournie par des sponsors qui font la promotion de leurs marques. Et pourtant, la consommation d’alcool continue de tuer chaque année plus de trois millions de buveurs selon l’Organisation mondiale de la santé. Mais qui s’en soucie ? Les affaires sont les affaires, et le marathon ne fait pas exception.
De plus, notre corps de chasseur-cueilleur est conçu pour stocker les graisses pour une utilisation ultérieure, en cas de disette. Cela explique pourquoi la combinaison de la propension des humains à la paresse et à la suralimentation avec un accès illimité à la nourriture entraîne inévitablement le surpoids ou l’obésité, même parmi les médecins, les chefs étoilés, les personnes riches ou puissantes.
Et enfin, nous savons que les maladies chroniques détruisent progressivement le cerveau, le cœur, les vaisseaux sanguins, les poumons, les reins, le système immunitaire — dont dépend l’efficacité des vaccins —, le pénis, les testicules, les articulations, etc.
Vous trouverez dans ce livre des explications détaillées sur pourquoi et comment nous pouvons reprendre efficacement le contrôle de notre santé et de notre vie. L’ouvrage est basé sur mon expérience de plus de 400 marathons et ultramarathons dans 103 pays des sept continents, et sur ma transformation d’un consommateur sédentaire crédule en un coureur pieds nus rationnel pour la survie des humains.
Le livre est disponible sur Amazon en format broché et numérique.
De nombreux humains continuent toutefois à rechercher le bonheur et le sens de la vie dans la consommation d’alcool, de tabac, de médicaments, de drogues illicites, d’excès de nourriture, etc. Or ces produits entraînent des maladies chroniques, alimentent la pollution de l’air et le réchauffement climatique, et créent de nouvelles dépendances qui s’avèrent difficiles à éliminer, même pour ceux qui se mettent ensuite à courir des marathons, ce qui explique, par exemple, pourquoi beaucoup de marathoniens ne peuvent résister à « une bière » après la course, malgré les endorphines qu’ils ont bien méritées.
Du coup, de nombreux organisateurs de course séduisent certains marathoniens en promettant une bière « gratuite » à chaque coureur classé, alors qu’elle est souvent incluse dans les frais d’inscription et donc déjà payée par tous les participants. La boisson addictive est parfois fournie par des sponsors qui font la promotion de leurs marques. Et pourtant, la consommation d’alcool continue de tuer chaque année plus de trois millions de buveurs selon l’Organisation mondiale de la santé. Mais qui s’en soucie ? Les affaires sont les affaires, et le marathon ne fait pas exception.
De plus, notre corps de chasseur-cueilleur est conçu pour stocker les graisses pour une utilisation ultérieure, en cas de disette. Cela explique pourquoi la combinaison de la propension des humains à la paresse et à la suralimentation avec un accès illimité à la nourriture entraîne inévitablement le surpoids ou l’obésité, même parmi les médecins, les chefs étoilés, les personnes riches ou puissantes.
Et enfin, nous savons que les maladies chroniques détruisent progressivement le cerveau, le cœur, les vaisseaux sanguins, les poumons, les reins, le système immunitaire — dont dépend l’efficacité des vaccins —, le pénis, les testicules, les articulations, etc.
Vous trouverez dans ce livre des explications détaillées sur pourquoi et comment nous pouvons reprendre efficacement le contrôle de notre santé et de notre vie. L’ouvrage est basé sur mon expérience de plus de 400 marathons et ultramarathons dans 103 pays des sept continents, et sur ma transformation d’un consommateur sédentaire crédule en un coureur pieds nus rationnel pour la survie des humains.
Le livre est disponible sur Amazon en format broché et numérique.