41 millions de décès évitables
Par Dr Pieds nus Sidy Diallo
Les maladies chroniques évitables tuent chaque année 41 millions de personnes. Et pourtant, personne n’y prête vraiment l’attention nécessaire ou n’en tire les bonnes conclusions. Je vous explique pourquoi.
Ces maladies tuent non seulement 41 millions de personnes chaque année — un nombre de décès annuel qui devrait « passer à 52 millions d’ici 2030 » —, mais détruisent également la vie de milliards d’hommes et de femmes. Et pourtant, personne n’y prête sincèrement l’attention nécessaire, sans parler de tirer les bonnes conclusions. Je vous explique pourquoi.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) souligne à juste titre que :
Traduction en français courant : La plupart des maladies chroniques qui tuent chaque année 41 millions de personnes « résultent de quatre facteurs de risque particuliers, à savoir le tabac, l’alcool, l’inactivité physique et l’excès de nourriture ». Plus concrètement, la paresse, la gourmandise et la consommation de tabac, d’alcool et d’autres psychotropes licites ou illicites causent des dizaines de millions de morts et détruisent la vie de milliards de personnes.
J’explique dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains et sur ce site le lien mathématique entre excès de nourriture et obésité, quelle que soit la qualité de la nourriture. Les gros chefs, les gros médecins ou les gros PDG sont parmi ceux qui fournissent les meilleures preuves de ce lien biochimique, les calories excédentaires, qu’elles proviennent du caviar ou d’une pizza, se transformant en graisse corporelle.
« Maladies chroniques : l’ONU se mobilise pour mettre fin à 41 millions de décès évitables par an », avait promis l’organisation mondiale en septembre 2018. Extraits :
« Maladie cardiaque, accident vasculaire cérébral, cancer, diabète, maladie pulmonaire chronique, dépression — quelques-unes des maladies décrites par le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Ghebreyesus, qui a fait comprendre le danger en demandant aux délégués de se lever, quand ils entendent le nom d’une maladie qui avait tué quelqu’un qu’ils aimaient : un par un, chaque personne dans la pièce s’est levée. C’était la scène au siège de l’ONU à New York, où quelque 500 personnes se sont rassemblées pour parler de la prévention et du contrôle des maladies chroniques. Je suis ici pour vous dire que nous nous égarons dangereusement, a averti le chef de l’OMS. Mais nous pouvons changer de cap, a-t-il ajouté. Nous pourrions prévenir 10 millions de ces décès d’ici 2025, a-t-il expliqué ».
Malheureusement, pour les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé, les institutions nationales de santé et la plupart des décideurs politiques, les « éléments clés de la riposte face aux maladies chroniques sont la détection, le dépistage et le traitement des maladies chroniques, ainsi que les soins palliatifs ». Il n’est donc pas surprenant que même l’Organisation mondiale de la santé s’attende à ce que le nombre annuel de décès dus aux maladies chroniques « atteigne 52 millions d’ici 2030 », au lieu de tenir leur vœu de 2018 de réduire le nombre annuel de décès à 31 millions d’ici 2025.
Autrement dit, le chef de l’OMS et les 500 délégués ont finalement réalisé le contraire de leur promesse. Mais ils ont également et surtout aggravé le réchauffement climatique avec leur voyage inutile et contre-productif à New York.
N’importe quel garçon ou n’importe quelle fille de cinq ans leur dirait : « Mesdames et Messieurs, avec tout le respect que je vous dois, la solution pour rester en bonne santé et sauver des dizaines de millions de vies est d’éliminer les facteurs de risque des maladies chroniques, et, à moins que vous n’agissiez en conséquence pour vous-mêmes, vous finirez probablement par mourir de ces maladies. »
Les maladies chroniques évitables tuent donc chaque année 41 millions de personnes, avec ou sans Covid-19. Et pourtant personne n’y prête attention. C'est à cause de la perfidie et de l'immense pouvoir de ceux qui en profitent pour s’enrichir, assoir leurs pouvoirs et maintenir les patients dans l’ignorance, la paresse, la gourmandise, les dépendances, etc., en les flattant et en faisant mine de s’occuper d’eux jusqu’à ce que mort s’ensuive. C’est affreusement inhumain, mais c’est la triste réalité du monde dans lequel nous vivons : toutes les occasions sont bonnes pour faire de l’argent et imposer, si possible, la dictature.
À titre d’exemple, alors que tout le monde sait désormais que le surpoids et l’obésité sont parmi les principaux facteurs aggravants de la Covid-19 et de risque de décès, au lieu d’augmenter leurs dépenses caloriques ou de manger moins afin de perdre du poids, beaucoup de gens, y compris des personnes obèses, continuent d’avaler trop de calories et de consommer de l’alcool, du tabac, etc., tout en accusant la pandémie de les avoir fait grossir, comme si le virus avait des calories !
Les patients qui souffrent des maladies facilement évitables courent également un plus grand risque de mourir de la COVID-19 et de perdre leurs capacités physiques et cognitives. "Les maladies cardiaques, le diabète, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer du poumon et les bronchopneumopathies chroniques obstructives ont été responsables d’une augmentation de près de 100 millions du nombre d’années de vie en bonne santé perdues en 2019 par rapport à 2000", souligne l’OMS. Alors pourquoi continuons-nous d’aggraver ces comorbidités, au lieu de les éviter ou de les éradiquer, en mettant immédiatement fin à leurs facteurs de risque (inactivité physique, tabac, alcool, excès de nourriture, etc.), et en adaptant notre mode de vie à notre biologie ? — Réveille-toi, homo sapiens !
Extraits du communiqué de presse de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les principales causes de décès et d’invalidité dans le monde (2000-2019) :
"Les maladies non transmissibles représentent désormais 7 des 10 principales causes de décès dans le monde. Les maladies cardiaques restent la principale cause de décès. Le diabète et la démence entrent dans les 10 premières. Les gens vivent plus longtemps, mais sont plus touchés par les incapacités. Les maladies qui causent le plus de décès sont également celles qui sont responsables du plus grand nombre d’années de vie en bonne santé perdues. Les personnes atteintes de pathologies préexistantes (comme les maladies cardiaques, le diabète et les affections respiratoires) ont un risque plus élevé de complications et de décès dus à la COVID-19."
Mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains est disponible sur Amazon en format broché et numérique, également en anglais sous le titre suivant : Running Barefoot for Human Survival.
Les maladies chroniques évitables tuent chaque année 41 millions de personnes. Et pourtant, personne n’y prête vraiment l’attention nécessaire ou n’en tire les bonnes conclusions. Je vous explique pourquoi.
Ces maladies tuent non seulement 41 millions de personnes chaque année — un nombre de décès annuel qui devrait « passer à 52 millions d’ici 2030 » —, mais détruisent également la vie de milliards d’hommes et de femmes. Et pourtant, personne n’y prête sincèrement l’attention nécessaire, sans parler de tirer les bonnes conclusions. Je vous explique pourquoi.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) souligne à juste titre que :
- « Les maladies non transmissibles (MNT), également appelées maladies chroniques, sont à l’origine de 41 millions de décès chaque année, soit 74 % de l’ensemble des décès dans le monde. Les maladies cardiovasculaires sont à l’origine de la plupart des décès dus aux MNT, soit 17,9 millions de personnes par an, suivies des cancers (9,3 millions), des maladies respiratoires chroniques (4,1 millions) et du diabète (2,0 millions, y compris les décès dus à une maladie rénale causée par le diabète) ».
- « Des facteurs de risque évitables sous-tendent la plupart des maladies non transmissibles. La plupart des maladies non transmissibles sont le résultat de quatre comportements particuliers (tabagisme, sédentarité, mauvaise alimentation et consommation nocive d’alcool) qui entraînent quatre changements métaboliques/physiologiques clés (hypertension artérielle, surpoids/obésité, glycémie élevée et cholestérol). »
Traduction en français courant : La plupart des maladies chroniques qui tuent chaque année 41 millions de personnes « résultent de quatre facteurs de risque particuliers, à savoir le tabac, l’alcool, l’inactivité physique et l’excès de nourriture ». Plus concrètement, la paresse, la gourmandise et la consommation de tabac, d’alcool et d’autres psychotropes licites ou illicites causent des dizaines de millions de morts et détruisent la vie de milliards de personnes.
J’explique dans mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains et sur ce site le lien mathématique entre excès de nourriture et obésité, quelle que soit la qualité de la nourriture. Les gros chefs, les gros médecins ou les gros PDG sont parmi ceux qui fournissent les meilleures preuves de ce lien biochimique, les calories excédentaires, qu’elles proviennent du caviar ou d’une pizza, se transformant en graisse corporelle.
« Maladies chroniques : l’ONU se mobilise pour mettre fin à 41 millions de décès évitables par an », avait promis l’organisation mondiale en septembre 2018. Extraits :
« Maladie cardiaque, accident vasculaire cérébral, cancer, diabète, maladie pulmonaire chronique, dépression — quelques-unes des maladies décrites par le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Ghebreyesus, qui a fait comprendre le danger en demandant aux délégués de se lever, quand ils entendent le nom d’une maladie qui avait tué quelqu’un qu’ils aimaient : un par un, chaque personne dans la pièce s’est levée. C’était la scène au siège de l’ONU à New York, où quelque 500 personnes se sont rassemblées pour parler de la prévention et du contrôle des maladies chroniques. Je suis ici pour vous dire que nous nous égarons dangereusement, a averti le chef de l’OMS. Mais nous pouvons changer de cap, a-t-il ajouté. Nous pourrions prévenir 10 millions de ces décès d’ici 2025, a-t-il expliqué ».
Malheureusement, pour les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé, les institutions nationales de santé et la plupart des décideurs politiques, les « éléments clés de la riposte face aux maladies chroniques sont la détection, le dépistage et le traitement des maladies chroniques, ainsi que les soins palliatifs ». Il n’est donc pas surprenant que même l’Organisation mondiale de la santé s’attende à ce que le nombre annuel de décès dus aux maladies chroniques « atteigne 52 millions d’ici 2030 », au lieu de tenir leur vœu de 2018 de réduire le nombre annuel de décès à 31 millions d’ici 2025.
Autrement dit, le chef de l’OMS et les 500 délégués ont finalement réalisé le contraire de leur promesse. Mais ils ont également et surtout aggravé le réchauffement climatique avec leur voyage inutile et contre-productif à New York.
N’importe quel garçon ou n’importe quelle fille de cinq ans leur dirait : « Mesdames et Messieurs, avec tout le respect que je vous dois, la solution pour rester en bonne santé et sauver des dizaines de millions de vies est d’éliminer les facteurs de risque des maladies chroniques, et, à moins que vous n’agissiez en conséquence pour vous-mêmes, vous finirez probablement par mourir de ces maladies. »
Les maladies chroniques évitables tuent donc chaque année 41 millions de personnes, avec ou sans Covid-19. Et pourtant personne n’y prête attention. C'est à cause de la perfidie et de l'immense pouvoir de ceux qui en profitent pour s’enrichir, assoir leurs pouvoirs et maintenir les patients dans l’ignorance, la paresse, la gourmandise, les dépendances, etc., en les flattant et en faisant mine de s’occuper d’eux jusqu’à ce que mort s’ensuive. C’est affreusement inhumain, mais c’est la triste réalité du monde dans lequel nous vivons : toutes les occasions sont bonnes pour faire de l’argent et imposer, si possible, la dictature.
À titre d’exemple, alors que tout le monde sait désormais que le surpoids et l’obésité sont parmi les principaux facteurs aggravants de la Covid-19 et de risque de décès, au lieu d’augmenter leurs dépenses caloriques ou de manger moins afin de perdre du poids, beaucoup de gens, y compris des personnes obèses, continuent d’avaler trop de calories et de consommer de l’alcool, du tabac, etc., tout en accusant la pandémie de les avoir fait grossir, comme si le virus avait des calories !
Les patients qui souffrent des maladies facilement évitables courent également un plus grand risque de mourir de la COVID-19 et de perdre leurs capacités physiques et cognitives. "Les maladies cardiaques, le diabète, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer du poumon et les bronchopneumopathies chroniques obstructives ont été responsables d’une augmentation de près de 100 millions du nombre d’années de vie en bonne santé perdues en 2019 par rapport à 2000", souligne l’OMS. Alors pourquoi continuons-nous d’aggraver ces comorbidités, au lieu de les éviter ou de les éradiquer, en mettant immédiatement fin à leurs facteurs de risque (inactivité physique, tabac, alcool, excès de nourriture, etc.), et en adaptant notre mode de vie à notre biologie ? — Réveille-toi, homo sapiens !
Extraits du communiqué de presse de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les principales causes de décès et d’invalidité dans le monde (2000-2019) :
"Les maladies non transmissibles représentent désormais 7 des 10 principales causes de décès dans le monde. Les maladies cardiaques restent la principale cause de décès. Le diabète et la démence entrent dans les 10 premières. Les gens vivent plus longtemps, mais sont plus touchés par les incapacités. Les maladies qui causent le plus de décès sont également celles qui sont responsables du plus grand nombre d’années de vie en bonne santé perdues. Les personnes atteintes de pathologies préexistantes (comme les maladies cardiaques, le diabète et les affections respiratoires) ont un risque plus élevé de complications et de décès dus à la COVID-19."
Mon livre Courir pieds nus pour sauver les humains est disponible sur Amazon en format broché et numérique, également en anglais sous le titre suivant : Running Barefoot for Human Survival.