La santé passe par nos pieds nus. Je cours donc fréquemment des marathons, de préférence pieds nus, pour rester en forme, en bonne santé et plus fort que la Covid-19 et les futures pandémies, même après 65 ans. En effet, la course à pied est notre meilleur remède, et nos pieds sont nos meilleures chaussures !
Les humains sont d'excellents coureurs de fond grâce à notre héritage de chasseurs-cueilleurs. Les comorbidités du COVID-19, c'est-à-dire les maladies chroniques, dont l'obésité, sont malheureusement le résultat de l'incompatibilité entre cet héritage et notre mode de vie actuel.
The book: Running Barefoot for Human Survival (Running Human)
Le livre : Courir pieds nus pour sauver les humains (Running human)
Les grands avantages de se tenir à distance des accessoires nuisibles : courir pieds nus, c'est la recette naturelle et gratuite pour effectuer des marathons sans aucune douleur, fatigue ou blessure, tout en stimulant efficacement le cerveau.
C’est la biologie qui explique tout
Des millions d’années d’évolution des espèces de la lignée humaine nous ont permis de disposer d’un corps parfaitement adapté à la course pieds nus, y compris sur l’asphalte, contrairement à la croyance populaire.
Les athlètes qui participaient aux Jeux olympiques antiques dans le berceau de la civilisation occidentale étaient d’ailleurs entièrement nus. Et, plus près de nous, le premier coureur pieds nus d’un marathon, Abebe Bikila, avait battu ses concurrents, ainsi que le record du monde. Malheureusement, il avait accepté par la suite de porter des baskets. Il finit alors par devenir la première victime légendaire des effets dévastateurs des chaussures, à cause de graves blessures qui sonnèrent le glas de sa carrière de coureur. Et comme lui, de plus en plus de gens se voient contraints d’arrêter la course à pied pour cause de toutes sortes de blessures aux pieds, aux jambes ou à la colonne vertébrale.
Courir des marathons ne consiste pas à repousser des limites ou à faire ses preuves. Il s’agit de pratiquer, instinctivement ou consciemment, l’activité humaine vitale que nous n’aurions jamais dû cesser d’exercer et pour laquelle notre corps est parfaitement conçu, c’est-à-dire la course podonudiste sur de longues distances. Cela signifie que faire un marathon avec des chaussures équivaut à s’engager sur la voie des blessures et des douleurs. Nos ancêtres ont efficacement couru pieds nus pendant trois millions d’années pour attraper d’autres animaux à des fins de nourriture, et ils ont développé au cours de cette période la parfaite machine à courir pieds nus, dont nous avons tous hérité.
Les chaussures agissent comme un corps étranger qui entrave le bon fonctionnel de l’appareil locomoteur. De fait, pour la plupart des gens qui courent avec des chaussures, leur corps peut encore tenir sur 5 à 10 km, mais pas sur des distances plus longues, ce qui fait même du semi-marathon une épreuve qui laisse des traces sur certains coureurs chaussés. Quant au marathon, on constate facilement les dégâts au cours de la seconde moitié du parcours et, hélas, beaucoup plus après la ligne d’arrivée.
Le marathon est par ailleurs l’activité normale et vitale des humains, qui nous permet aujourd’hui d’échapper aux maladies chroniques que, hélas, la médecine et les médicaments ne peuvent en général pas guérir, à savoir le stress, la dépression, l’insomnie, la fatigue, le surpoids, l’obésité, les accidents vasculaires cérébraux, le diabète, l’hypertension artérielle, les troubles de l’érection, l’insuffisance rénale, la perte de la mobilité ou des capacités cognitives, certains cancers, etc.
L’histoire de l’homo sapiens est celle d’une quête de progrès, qui a connu des succès, assortis toutefois de sérieux effets indésirables contre lesquels la médecine se révèle impuissante. Notre meilleure option consiste donc à cumuler deux professions : le travail qui nous permet de gagner tant bien que mal notre vie et, parallèlement, la participation à des marathons, de préférence pieds nus afin d’éviter les blessures.
Enfin, si courir des marathons devient irrésistiblement de plus en plus populaire, c’est parce que cette forme moderne de chasse à l’épuisement permet d’assouvir instinctivement nos pulsions naturelles de chasseurs-cueilleurs, sans avoir besoin de tuer un animal. Et puisque le marathon est une forme moderne d’activité tribale, la bonne façon de le faire est la méthode tribale, c’est-à-dire sur nos pieds nus. Et pour cela, nous n’avons même pas besoin de retirer nos chaussures, simplement, nous ne les mettons pas.
Nous pourrons alors clamer, très fièrement, haut et fort que NOUS SOMMES LA TRIBU !
Les athlètes qui participaient aux Jeux olympiques antiques dans le berceau de la civilisation occidentale étaient d’ailleurs entièrement nus. Et, plus près de nous, le premier coureur pieds nus d’un marathon, Abebe Bikila, avait battu ses concurrents, ainsi que le record du monde. Malheureusement, il avait accepté par la suite de porter des baskets. Il finit alors par devenir la première victime légendaire des effets dévastateurs des chaussures, à cause de graves blessures qui sonnèrent le glas de sa carrière de coureur. Et comme lui, de plus en plus de gens se voient contraints d’arrêter la course à pied pour cause de toutes sortes de blessures aux pieds, aux jambes ou à la colonne vertébrale.
Courir des marathons ne consiste pas à repousser des limites ou à faire ses preuves. Il s’agit de pratiquer, instinctivement ou consciemment, l’activité humaine vitale que nous n’aurions jamais dû cesser d’exercer et pour laquelle notre corps est parfaitement conçu, c’est-à-dire la course podonudiste sur de longues distances. Cela signifie que faire un marathon avec des chaussures équivaut à s’engager sur la voie des blessures et des douleurs. Nos ancêtres ont efficacement couru pieds nus pendant trois millions d’années pour attraper d’autres animaux à des fins de nourriture, et ils ont développé au cours de cette période la parfaite machine à courir pieds nus, dont nous avons tous hérité.
Les chaussures agissent comme un corps étranger qui entrave le bon fonctionnel de l’appareil locomoteur. De fait, pour la plupart des gens qui courent avec des chaussures, leur corps peut encore tenir sur 5 à 10 km, mais pas sur des distances plus longues, ce qui fait même du semi-marathon une épreuve qui laisse des traces sur certains coureurs chaussés. Quant au marathon, on constate facilement les dégâts au cours de la seconde moitié du parcours et, hélas, beaucoup plus après la ligne d’arrivée.
Le marathon est par ailleurs l’activité normale et vitale des humains, qui nous permet aujourd’hui d’échapper aux maladies chroniques que, hélas, la médecine et les médicaments ne peuvent en général pas guérir, à savoir le stress, la dépression, l’insomnie, la fatigue, le surpoids, l’obésité, les accidents vasculaires cérébraux, le diabète, l’hypertension artérielle, les troubles de l’érection, l’insuffisance rénale, la perte de la mobilité ou des capacités cognitives, certains cancers, etc.
L’histoire de l’homo sapiens est celle d’une quête de progrès, qui a connu des succès, assortis toutefois de sérieux effets indésirables contre lesquels la médecine se révèle impuissante. Notre meilleure option consiste donc à cumuler deux professions : le travail qui nous permet de gagner tant bien que mal notre vie et, parallèlement, la participation à des marathons, de préférence pieds nus afin d’éviter les blessures.
Enfin, si courir des marathons devient irrésistiblement de plus en plus populaire, c’est parce que cette forme moderne de chasse à l’épuisement permet d’assouvir instinctivement nos pulsions naturelles de chasseurs-cueilleurs, sans avoir besoin de tuer un animal. Et puisque le marathon est une forme moderne d’activité tribale, la bonne façon de le faire est la méthode tribale, c’est-à-dire sur nos pieds nus. Et pour cela, nous n’avons même pas besoin de retirer nos chaussures, simplement, nous ne les mettons pas.
Nous pourrons alors clamer, très fièrement, haut et fort que NOUS SOMMES LA TRIBU !